22/00685
Résumé
En bref
La Cour d'appel de Toulouse a confirmé la condamnation de la société Nehia à payer à l'Us [Localité 3] Rugby Pro les sommes dues au titre du contrat de partenariat. La décision repose sur l'absence de preuve d'un manquement grave de la part de l'Us [Localité 3] Rugby Pro.
L'article 8 du contrat n'a pas été enfreint, car les obligations contractuelles essentielles ont été remplies malgré l'annulation de trois matchs en raison de la crise sanitaire.
En détail
L'affaire oppose la SAS Nehia à la SA Us [Localité 3] Rugby Pro, concernant un litige sur un contrat de partenariat. La SAS Nehia souhaitait résilier le contrat et obtenir des dommages-intérêts pour l'annulation de trois matchs lors de la saison 2019-2020, invoquant la mauvaise foi de son partenaire. La Cour a identifié que la question principale reposait sur l'existence d'un manquement contractuel grave de la SA Us [Localité 3] Rugby Pro.
Les obligations contractuelles de la SA Us [Localité 3] Rugby Pro comprenaient plusieurs prestations, mais pas un nombre précis de matchs.
La Cour a jugé que la résiliation du contrat par la SAS Nehia n'était pas justifiée, car elle n'a pas prouvé de fautes graves de la part de son partenaire.
Extrait de la décision :
"Le manquement contractuel allégué par la société Nehia à l'encontre de la SA Us [Localité 3] rugby Pro n'est pas établi."
Mots clés
Contrat de partenariat, Manquement contractuel, Résiliation de contrat, Dommages intérêts, Force majeure, Obligations contractuelles, Article 8 du contrat, Crise sanitaire